Ce livre est conçu pour responsabiliser les femmes avec les valeurs islamiques.
On vous donne les outils pour devenir la meilleure version de vous-même, alors que vous entrez dans une famille universelle au-delà des frontières, appelée la Ummah.

ZINA HAMZAOUI
Chut, hchouma !
Confessions d'une sexologue musulmane
Aujourd'hui, la société moderne nous fait miroiter une image de la sexualité souvent vulgaire et racoleuse, à l'opposé de ce qui se vit au sein des couples. Cet ouvrage bien documenté, qui alterne explications et conseils pratiques, s'adresse à tous ceux qui questionnent leur sexualité, et en particulier les familles arabo-musulmanes. Le mot hchouma correspond à cette réalité : on ne parle pas de sexualité, d'amour, d'émotions, car « ça ne se fait pas chez nous » ...

Le lien qui unit une mère à sa fille est aussi fort qu’unique. Tantôt idyllique, tantôt compliquée, mais toujours passionnée, la relation entre une mère et sa fille évolue sans cesse, au gré des âges de l’une et de l’autre, de leurs parcours de vies respectifs, de leur cheminement spirituel personnel, de leurs rencontres, de leurs joies et de leurs peines.

Deux merveilleux événements ont profondément ébranlé l’existence d’Oumeyma. Tous deux ont eu lieu en 2017. Le premier a été la naissance de son premier enfant. Le second, la mort de sa mère, Najia. Cela semble inconcevable, pourtant le jour de sa mort a été le plus beau de toute la vie d’Oumeyma. Alors qu’elle s’attendait à assister à une douloureuse tragédie, cette nuit a été merveilleuse. Elle a vu l’âme de celle qui l’a mise au monde quitter son corps. Elle a assisté à des miracles. Elle a ressenti un bonheur et une Rahma auxquels elle n’avait jamais goûté jusqu’à cette nuit mémorable.Cet événement a bouleversé son quotidien de maman, d’épouse, de femme, pour l’amener à se remettre en question, se reconnecter à l’essentiel et reprendre sa vie en main. À travers son récit, Oumeyma porte un regard nouveau, différent, sur la mort, mais surtout sur la vie. Plein d’espoir, de bienveillance et de courage, ce livre vous fera vibrer en profondeur et vous fera cheminer… à l’intérieur de vous-même. Ce livre dépeint à la fois la vie inspirante de Najia, une femme dévouée à Allah, et celle d’Oumeyma, qui a utilisé l’héritage spirituel de sa mère, pour laisser sa propre trace.

To DO LIST 50 pages

L’un des éminents historiens de Médine des premières, et meilleures, générations de l’Islam, Muḥammad ibn Al-Ḥasan ibn Zabālah (d. 199 H.) fut l’un des premiers auteurs à consacrer un ouvrage entier aux épouses du Prophète صلى الله عليه وسلم, les Mères des croyants

Cette épitre est un rappel pour le père qui désire que ces filles – et toutes celles qui vivent sous son autorité – jouissent d’une bonne éducation et d’une vie saine, leur permettant ainsi d’entrer dans la vie conjugale conformément à ce qu’Allah et Son prophète attendent d’elles. C’est aussi un rappel pour la mère, gestionnaire de son foyer et responsable de ses filles qu’elle se doit d’orienter. En effet beaucoup de filles acquièrent des traits de caractères qu’elles héritent de leur mère.

Allah a créé l’homme et la femme et les a disposés à de multiples natures : entre colère et douceur, empressement et patience, rire et pleurs, tristesse et joie. La tristesse est une nature humaine, qui est permise en certaines circonstances et réprouvée en d’autres.

Ce livre est une adaptation de la préface de l’encyclopédie biographique en 40 volumes (et en arabe) de Muhammad Akram, au sujet des femmes musulmanes qui étudièrent et enseignèrent le hadith. Il prélève, présente, puis réfléchit sur les informations de cette encyclopédie. Il démontre le rôle central des femmes musulmanes dans la préservation de l’enseignement du Prophète r, qui reste le guide principal pour comprendre le Coran en tant que règles et normes de vie.
« [...] alors que de nombreuses femmes musulmanes n’osent toujours pas prier dans les mosquées, et encore moins y donner des conférences, la biographie écrite par Akram concernant Umm Ad-Dardâ’, une éminente juriste de Damas au VIIe siècle, est surprenante. Jeune femme, Umm Ad-Dardâ’ avait l’habitude de s’asseoir avec des savants hommes dans la mosquée... Elle enseigna ensuite le hadith et la jurisprudence, ou encore la loi [religieuse], à la mosquée. Elle donna même des conférences aux hommes ; parmi ses étudiants, se trouvait le calife [en personne]... » Article rédigé par The New York Times.