Histoire / Biographie

L'auteur, l'Imam al-Nawawi a dit :
"Sache que les circonstances et les évènements qu’a connus le Messager d'Allah (paix sur lui), sa vie, ce dont Allah, l'Exalté, l'a honoré, son influence et sa marque sur les mondes, sont au-delà de toute énumération, il n'est pas possible de tout examiner. Cela est particulièrement vrai pour un livre concis comme celui-ci.
Ce que j'ai mentionné ici devrait servir d'indication sur ce que j'ai laissé de côté. Mon but était d'honorer ce livre en mentionnant certains des évènements de la vie du Messager d'Allah (paix sur lui). C'est ce qui s'est produit, et toutes les louanges et tous les remerciements sont dus à Allah.

Découvrez au travers de ses pages quelques-uns des grands moments et événements ayant fait l’histoire de la civilisation islamique, ceci de l’ère de la Révélation coranique à nos jours. De la bataille de Badr à l’abolition du Califat, du voyage d’Ibn Baṭṭūṭa à la chute de Grenade en passant par la naissance du malikisme ou la conquête de Constantinople par les Ottomans, plongez-vous dans 14 siècles d’un monde à la jonction des époques et des continents.
Nombre de pages : 376.

‘Le cœur à l’esprit’ est une étude sur la nature de l’intellect (‘aql), sa réalité dans le Coran et la Sunna, sa parfaite manifestation dans la vie du Prophète ﷺ et la façon dont les théologiens musulmans ont compris sa fonction ; il propose au lecteur une compréhension alternative de l’intelligence, dans laquelle la fonction principale de l’intellect est de connaître Dieu ainsi que de conduire les autres à Lui. 

Si l’on ne devait retenir qu’une seule épopée, qu’un seul conquérant de génie de toute l’Histoire islamique, ce serait sans aucun doute lui : Khâlid ibn al-Walîd, à la fois fer de lance et chef d’orchestre des premières grandes conquêtes musulmanes et précurseur et modèle de tous ceux qui poursuivraient son œuvre entre les Pyrénées et l’Indus.

Myriem dans les palmes,  c'est l'histoire d'une musulmane qui est allée au bout d'un processus assimilationniste en se mariant avec un militaire français. Après des années de mariage, elle veut sauver Myriem et Jean-Hafid, ses enfants,  du pire qui attend les enfants issus de couples mixtes, c'est-à-dire la doctrine assimilationniste de la politique coloniale avec son corollaire : le déchirement de la conscience individuelle entre 2 identités (moderne/islamique) et 2 appartenances (dominés/dominants). 
Khadidja Debussy donne alors à ses enfants un professeur de langue arabe et de religion islamique afin de les guider dans la bonne voie.

La conquête musulmane de l’Égypte fut paradoxalement la plus rapide et la plus durable des premières conquêtes de l’ère islamique. En à peine dix-huit mois d’une campagne magistrale encore étudiée dans les écoles militaires à travers le monde de nos jours, modèle du genre alliant fougue individuelle, finesse tactique et grande politique, une maigre armée de quelques milliers de guerriers musulmans sous-équipés et largement inférieurs en nombre s’emparaient de la « Mère du Monde », le berceau multi-millénaire de l’une des plus antiques et illustres civilisations de l’humanité, la terre des Pharaons, tour à tour conquise et gouvernée par les Perses, Alexandre le Grand et Rome. Au terme d’une série de batailles et de sièges menés de main de maître, une poignée d’hommes déterminés et enflammés par leur nouvelle foi allait changer l’Histoire… Un homme domina de la tête et des épaules cette campagne-éclair : son commandant en chef ‘Amr ibn al-‘As, Compagnon du Prophète ﷺ que le calife Abû Bakr nommait déjà « le plus rusé de Quraysh », et maître de la haute stratégie et de l’art de la guerre sans égal qui fit là la démonstration la plus éclatante de son génie à l’état brut. Au-delà de cette figure omniprésente, la conquête de l’Égypte ne fut pas dénuée de pointures aussi bien spirituelles que militaires : ainsi, notamment, d’az-Zubayr ibn al-‘Awwam, l’un des grands héros de la campagne, de ‘Ubâda ibn as-Sâmit et d’une foule de Compagnons du Prophète ﷺ qui apportèrent leur pierre à l’édifice. 
Pour la première fois traduite en français, l’œuvre de l’historien militaire pakistanais Agha Ibrahim Akram, spécialiste émérite des premières conquêtes musulmanes, nous narre donc les coups d’éclat et les éclairs de génie de cette conquête si courte et pourtant si lourde de conséquences historiques !

Récit des voyages de l’humanitaire Abderrahman Sumait.Durant ce voyage, fait de sacrifices, révélant des réalités, des étrangetés et des singularités, son héros a choisi de se faire appeler serviteur de la Da’wâ. Il a effectivement aimé prêcher et servir cette cause avec toute la force et l’énergie qu’il a reçues. Pour sa tâche il avait élaboré une stratégie, emprunté une voie et suivi une route où les difficultés ont été pour lui un réconfort, et les accomplissements une joie. Ces accomplissements dans le domaine de l’Appel à l’islam valaient pour lui la terre et ce qu’elle contient.

« Ce sermon béni a été composé à la gloire du Tawhîd et de la Sounnah par le commandeur des croyants, Soulaymân ibn Mohammad ibn ‘Abdillah ibn Ismâ’îl, roi du Maroc de la dynastie alaouite, dans le but de purifier les esprits de toute forme d’idolâtrie et de tout type d’innovation, et d’inciter les musulmans à se conformer au Livre d’Allah et à la Sounnah de Son Messager ‎ﷺ, condition sine qua non du succès et de la réussite ici-bas comme dans l’au-delà.
Il rédigea ce sermon béni et ordonna qu’il soit délivré au peuple marocain dans l’ensemble des mosquées du pays.
Collection patrimoine des savants du Maghreb
Traduction : Rachid Maach
Révision : Rachid Ouzzi

Résumé :
1608, un an avant l’expulsion des Morisques d’Espagne. María a 16 ans, elle travaille dans une seigneurie dans la région de Valence aux côtés de son père, un ancien alfaqi ayant jadis sillonné l’Espagne à diffuser l’islam en toute clandestinité. Ils doivent se faire discrets et vivre leur religion dans le plus grand des secrets. Mais l’Inquisition rôde et tombe sur son père. Fuyant dans les bois tandis qu’il s’apprête à passer sur le bûcher, elle chute, s’évanouit, et se réveille sans plus aucun souvenir. Seule, recluse dans une bergerie à l’abri des regards, María survit, mais elle est chaque nuit réveillée par des mots et des paraboles lui venant à l’esprit. C’est le Qurʾān, qu’elle avait plus tôt mémorisé, qui lui refait surface. La jeune Morisque s’interroge et veut en savoir plus, sur elle, et surtout sur ces « révélations » qui lui parviennent. Mais il faudra pour cela qu’elle retourne à l’âpre réalité de son temps, un temps où l’Espagne catholique lutte farouchement contre les dernières manifestations de l’islam sur son sol.
Nombre de pages : 280.