Livres

Pour remédier aux insuffisances de l'enseignement de l'histoire. Max Vintéjoux s'est attelé à faire connaître ses amis arabes à ses amis français.
Louis Massignon salua le Miracle arabe écrit par ce partisan du dialogue des cultures comme un cri « à nos amis arabes de tenir bon, de résister à toute cette propagande assourdissante qui leur propose de renoncer à leur honneur, à leur tradition, à leurs pères, de capituler devant la force colonialiste et les capitaux des banques, pour conformer leur manière de penser et d'agir à cette fausse civilisation de robots qui ne croit plus en elle-même, ni en Dieu, et aspire à soumettre l'univers...

Y a-t-il réellement un doute sur l'existence de Dieu ? D'autre part, est- ce que l'athéisme, le déisme ou l'agnosticisme ont résolu les problèmes, tant ceux des individus que ceux des sociétés ? C'est sur ces deux questions, tout d'abord, que ce livre se penche, avant de donner une présentation de la foi en Dieu et en Ses prophètes, tous Ses prophètes.

Allah, Puissant et Élevé soit-Il, a certes honoré cette grande communauté en lui envoyant la meilleure de Ses créatures, notre Prophète Muḥammad, صلى الله عليه وسلم, à qui Il révéla le meilleur de Ses Livres

Aucun Musulman ignore que l’étude de la biographie du Prophète (saws) a de grands bénéfices, des effets bénis et de nombreux fruits pour le Musulman dans sa vie d’ici-bas et celle de l’au-delà.

L’un des éminents historiens de Médine des premières, et meilleures, générations de l’Islam, Muḥammad ibn Al-Ḥasan ibn Zabālah (d. 199 H.) fut l’un des premiers auteurs à consacrer un ouvrage entier aux épouses du Prophète صلى الله عليه وسلم, les Mères des croyants

Le Développement Personnel est une tendance qui s'est installée dans le paysage musulman. Pour certains ce n'est qu'une imposture. Pour d'autres, c'est une bouffée d'oxygène incroyable.

Malgré le bon accueil réservé en France par la critique à « Vocation de l’Islam », Malek Bennabi considérait le « Phénomène coranique » comme le plus important de ses ouvrages.

Dans cet ouvrage, Hamza Andreas Tzortzis présente un argumentaire irréfutable en faveur des fondements rationnels et spirituels de l’Islam tout en déconstruisant l’athéisme avec intelligence et sensibilité.

Bénie du haut des cieux et honorée par la présence de tant d’hommes aimés de l’Unique, al-Quds est fondamentale dans l’histoire, la géographie et le dogme de l’Islâm, inséparable de l’âme de la Oumma et de l’identité musulmane.

Cette épitre est un rappel pour le père qui désire que ces filles – et toutes celles qui vivent sous son autorité – jouissent d’une bonne éducation et d’une vie saine, leur permettant ainsi d’entrer dans la vie conjugale conformément à ce qu’Allah et Son prophète attendent d’elles. C’est aussi un rappel pour la mère, gestionnaire de son foyer et responsable de ses filles qu’elle se doit d’orienter. En effet beaucoup de filles acquièrent des traits de caractères qu’elles héritent de leur mère.

Allah a décrit la sourate Yûsuf comme “le meilleur des récits”, qu’Il a révélé dans le Qur’ân, la meilleure de toutes les révélations, au meilleur de tous les prophètes, notre Prophète Muhammad ﷺ. Cette histoire lui fut révélée pour lui remonter le moral à un moment où il vivait les plus grandes épreuves de son existence : une période difficile où, après une décennie de moqueries, de rejet et de persécutions à Makkah, il venait tout juste de perdre son épouse bien-aimée Khadîja et son oncle et protecteur Abû Talib. 
Le Prophète Yûsuf a vécu il y a des milliers d’années, mais le temps n’a en rien diminué la pertinence de son histoire et de ses expériences de vie. C’est un récit d’amour, de passion, de trahison et de pardon, et il a quelque chose à nous apprendre à chaque étape de notre vie, tant il nous transmet la Sagesse divine enveloppée d’une éloquence sans pareille. C’est, en bref, une histoire intemporelle qui continuera à apaiser nos âmes dans les moments d’épreuve et à raviver notre confiance en notre Seigneur.

Malgré son apparence physique d’une beauté si saisissante, le caractère du Prophète était encore bien plus sublime et frappant. Si vous aviez eu l’occasion d’observer sa conduite en personne, vous auriez très certainement prononcé les mêmes mots que ‘Alî ibn Abî Tâlib : « Je n’ai jamais vu quelqu’un comme lui, que ce soit avant ou après lui. »
Si vous aviez eu la chance de vivre à son époque, vous auriez voulu le voir chaque jour. Vous auriez profondément apprécié ses sourires, ses paroles, ou ses jeux avec les enfants, qu’ils soient les siens ou les vôtres. Vous auriez aimé prier derrière lui, observer le jeûne à ses côtés, célébrer les festivités de l’Aïd en sa présence. Vous l’auriez considéré tant comme un professeur et un maître empreint de sagesse que comme un ami d’une immense noblesse.